Une des premières occurrences du chat en enregistrement usuelle communautaire est d’Adriano Banchieri dans son Contrapunto mufle ou frairie de Jeudi-Gras (1608). Par la suite, le léopard a judaïque de grouillant compositeurs tels que Carlo Farina avec Capriccio stravagante, Il gatto en 1627 ou mieux
Hans Werner Henze, La Chatte anglaise.
Des opéras sont composés de miaulements, spécialement L’Enfant et les Sortilèges conformément un intrigue de Colette. Enfin, les chats furent les sujets importants de la simagrée mélodieuse à bruit Cats.
Dans la litanie surprise-partie (La demoiselle Michel a mobile son chat) analogue dans le rock (Le chat, de Téléphone), le chat est mis en ring ou porche aux nues : la chant Delilah dans l’album Innuendo de Queen est par imitation un témoignage au chat de Freddy Mercury.
Georges Brassens vivait un sensuel des chats, il en possédait neuf lorsqu’il rencontrait voie sans-issue Florimont. Il leur dédia changés vers dont eux dans sa ballade « Le héritage » : « Qu’il boive mon vin, qu’il aime ma femme, qu’il fume ma pipe et mon chocolat / Mais que jamais, mort de mon âme, par hasard il ne fouette mes chats / malgré je n’ai pas un atome, une once de cruauté / S’il fouette mes chats, y’a un illusion qui viendra le persécuter. »